Andréanne Le Hudon a quitté la poussière de l’échangeur Turcot pour rejoindre les montagnes de Charlevoix où – les pieds dans la terre, bêche et pinceaux en main – elle peint, dessine et fait le paysage. Son travail a voyagé avec elle, au Québec, au Canada et en France.
Elle a observé les chenilles à Rouyn-Noranda lors d’une résidence à L’Écart – lieu d’art actuel, a préparé un herbier tiré des parterres de Montréal au cours d’une maîtrise à l’UQAM, et, plus récemment, parcours les bois de sa région grâce au soutien de la Fondation Élizabeth Greenshields.